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Zebulle
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6 mai 2009

le conte de Dame Zebulle au pays de la réalité...

Il était une fois une Dame Zebulle qui vivait dans un monde de rêves et d'utopies. Parfois, elle sortait le nez dehors, timidement. Dame Zebulle, dans sa naïveté, croyait que les banques étaient là pour aider les personnes pleines de bonnes idées mais les poches vides. Peut-être était-ce le cas dans d'autres pays... mais dans le pays de Dame Zebulle, les banques servent à enrichir encore plus des gens déjà riches. Dans ce pays, les banques prêtent de l'argent aux gens qui ont déjà de l'argent. De l'argent qui dort sur des comptes et qu'il ne faudrait surtout pas déranger... alors la banque dérange, elle, ses sous qui dorment moins bien et surtout troujours prêts à rendre des services fiscaux...
Aujourd'hui, Dame Zebulle a été regardé de travers par une dame qui ne lui a posé aucune question sur le fonds même de son projet mais juste sur d'éventuels sous qui dormiraient quelque part... et elle n'a pu répondre à cette dame en question que si elle avait eu ces sous-là, endormis quelque part, elle ne serait pas chez elle aujourd'hui...
Il était une fois une Dame Zebulle qui avait du mal à comprendre la logique du monde qui l'entoure sans pour autant s'avouer vaincue et qui continuait son aventure!
Ainsi s'achève le conte de Dame Zebulle au pays de la réalité.

(prêt accordé!!!

... c'est le discours de la dame qui m'a mis très en colère)

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Commentaires
L
Il me tarde de connaître la suite... ce que fit Dame Zébulle de ce prêt accordé...<br /> <br /> L'avant-dernière fois que nous sommes allés chez notre banquier préféré pour finaliser un petit prêt (ah, fichus travaux), comme il avait été quasi convenu un peu plus tôt dans l'année, la direction de l'agence avait changé. La direction départementale aussi.Pas assez de garantie à leur goût. On aurait le prêt si on s'engageait à contracter une petite assurance vie. Bah oui, avec quatre enfants, c'est limite de l'inconscience de ne pas en avoir déjà souscrit une, n'est-ce pas. Oui, mais l'inconscience est un art qui se cultive à part. Nous avons tancé de l'œil le banquier gêné-cochon-qui-s'en-dédit, remballé nos affaires, indignés, et lui avons rapporté un peu plus tard le papier de l'agent immobilier, celui qui nous avait vendu notre carrosserie. Le prix de notre maison, avec leur petit prêt et les gros travaux de mon Amoureux, avait doublé en deux ans. Et toc, du Schnock ! C'est pas grave, on a fait autrement, et maintenant on se marre bien quand il sollicite un rendez-vous pour faire un point sur notre situation. Notre situation va bien merci, et la vôtre ? On vous fera signe, vous inquiétez pas quand on aura peut-être besoin de vous.
I
Oh, j'ai hâte d'en savoir plus sur ce projet :O)
K
Vu ce qu'il y a entre les virgules.... tout est bien qui fini bien .... ! et toc pour la dame au vilain discours !
E
bonne continuation alors !
M
youpi! l'aventure peut continuer... bravo marie & m---- aux frileux!
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